la stratégie du choc-Les attentats ou la grande mascarade

Publié le par Little Némo

Terroriser le terrorisme d état . Est ce possible ?

Terroriser le terrorisme d état . Est ce possible ?

faut il avoir peur des gouverne ment et des mensonges d état ?

Choquer la population pour obtenir son soutien et ensuite faire passer des lois comme le
Patriot Act aux USA est bien là une technique de contrôle des masses qui sert l'élite.
Beaucoup de vérités sont en train d'éclater au grand jour, et certains événements ressemblent à une mascarade. La méthode est toujours la même.

James Corbett fait une analyse des différents événements sanglants qui on eu lieu dans le monde et nous démontre l'absurdité de certains faits et le but final voulu parl les autorités des différents pays ;

Sa définition actuelle du terrorisme :
"Ce sont des gouvernements n'hésitant pas à effrayer leurs propres populations pour les contrôler".

"Toute personne peut être maintenant un terroriste potentiel, selon les agences gouvernementales et les médias, qui refusent nos propres opinions et notre dissidence au contrôle".

POUR INFO le "PATRIOT ACT" (source WIKIPÉDIA) :

Le USA PATRIOT Act (acronyme traduisible en français par : « Loi pour unir et renforcer l'Amérique en fournissant les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme ») est une loi antiterroriste qui a été votée par le Congrès des États-Unis et signée par George W. Bush le 26 octobre 2001.

L'un des axes centraux de ce long texte (132 pages2) est d'effacer la distinction juridique entre les enquêtes effectuées par les services de renseignement extérieur et les agences fédérales responsables des enquêtes criminelles (FBI) dès lors qu'elles impliquent des terroristes étrangers. Elle crée aussi les statuts de combattant ennemi et combattant illégal, qui permettent au gouvernement des États-Unis de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste.

Dans la pratique cette loi autorise les services de sécurité à accéder aux données informatiques détenues par les particuliers et les entreprises, sans autorisation préalable et sans en informer les utilisateurs.

Structure générale de la loi

Le président George W. Bush lors de la signature du USA PATRIOT Act à la Maison-Blanche (East Room), le 26 octobre 2001. Le président a accompagné ce geste du commentaire suivant : « Avec ma signature, cela donnera de nouveaux instruments aux services de renseignements et à la police pour combattre les dangers actuels »
Cette loi, conséquence directe des attentats du 11 septembre 2001, renforce énormément les pouvoirs des différentes agences gouvernementales des États-Unis (FBI, CIA, NSA) et de l'armée américaine. Elle fut considérée comme une loi d'exception, dont certaines dispositions (seize au total2) n'étaient valables que pour quatre années. Sont modifiées, entre autres, les lois sur l'immigration, les lois d'opérations bancaires, la loi de surveillance d'intelligence étrangère (FISA). Il crée une nouvelle catégorie de crime du « terrorisme intérieur » (section 802). Cette accusation s'applique par exemple à la consultation privée de documents qui réfutent la vérité.

quant rechercher la vérité est assimilé a du terrorisme il y a t il lieu de s inquiéter ?

quant rechercher la vérité est assimilé a du terrorisme il y a t il lieu de s inquiéter ?

Des terroristes takfiri ont été faits prisonniers par l’armée syrienne au nord-ouest d’Alep. Ils ont avoué avoir été formés en Turquie par des instructeurs venus des Etats-Unis, mais aussi de l’Arabie saoudite et du Qatar.

Le mouvement Takfir wal Hijra (qui signifie Anathème et exil) a été fondé en 1971. Il s’agit d’une scission des Frères Musulmans qui se veut plus radicale et jette l’anathème (takfir) sur les musulmans qui ne partagent pas leur point de vue. Les takfiri se font connaître dès 1985 par des profanations de tombes, des destructions de mausolées et de lieux de cultes, ainsi que des atrocités filmées et diffusées pour terroriser les populations locales.

Concernant les non-musulmans, les takfiri excluent la dhimmitude et prônent la mise à mort de tous ceux qui ne se seront pas convertis.

Les takfiri sont donc loin d’être des « modérés ».

Au cours d’interviews diffusées par la télévision d’Etat syrienne, les prisonniers takfiri ont raconté que des instructeurs militaires des États-Unis, de l’Arabie saoudite et du Qatar les avaient formés sur le sol de la Turquie.

Un des terroristes, identifié comme Ahmad Mustafa Mastari, a expliqué que lui, ainsi que d’autres islamistes, avait été envoyé à Alep après avoir reçu une formation militaire en Turquie pendant 30 jours.

Il a ajouté que des instructeurs militaires « étrangers » avaient déjà entraînés les takfiri pendant 45 jours dans la ville de Salqin, dans la province syrienne d’Idleb, avant la formation en Turquie.

«Je faisais partie de la force qui a attaqué Jam’yat al-Zahraa à Alep, nous étions environ 250 combattants, mais l’opération a échoué et nous avons été arrêtés par l’armée », a déclaré Mastari.

Un autre terroriste, appelé Mohammad Aqel Akk, a déclaré qu’un groupe de terroristes, y compris lui-même, avait été formé pendant 45 jours dans Salqin, ajoutant qu’ils ont ensuite été envoyés en Turquie pour compléter leur formation.

Il a également affirmé que chaque stagiaire a reçu 200 dollars américains en Turquie.

« Nous sommes ensuite retournés à Alep et on a commencé une attaque énorme sur les postes de l’armée à Alep, mais notre opération est un échec et nous avons été pris, » a-t-il ajouté.

Qasem Abdullah, un terroriste qui a été pris par l’armée syrienne à Alep, raconte qu’il a reçu cinq mois de formation en Turquie où il recevait environ 80 dollars par mois.

Il a ajouté qu’il était parmi un groupe de 50 hommes armés qui ont pris part à un attentat manqué à Alep.

« Un certain nombre d’entre nous, moi y compris, ont été blessés dans l’attaque et nous avons décidé de nous rendre à l’armée », dit-il.

La Turquie est l’un des principaux partisans du militantisme Takfiri contre le président syrien Bachar al-Assad, des rapports montrant que Ankara forme activement et arme des militants opérant en Syrie.

Les États-Unis et la Turquie ont signé un accord en février pour former et armer des combattants en Syrie.

La mission, qui a officiellement commencé en juin, prévoit de former plus de 15.000 islamistes sur le sol turc sur un délai de trois ans. Plus de 120 soldats américains seraient en Turquie pour former ces islamistes.

Charlie, USA, Daesh : les 7 médiamensonges

Un ancien d'Al Qaïda Affirme que la CIA et Israël sont derrière le terrorisme "djihadiste"

Le quotidien turc Cumhuriyet a publié vendredi des photos et une vidéo qui accréditent l'hypothèse, jusque-là farouchement démentie par le gouvernement islamo-conservateur d'Ankara, de livraisons d'armes aux rebelles extrémistes syriens début 2014. Dans son édition papier et sur son site internet, le journal d'opposition diffuse des images d'obus de mortier dissimulés sous des médicaments dans des camions, officiellement affrétés par une organisation humanitaire, interceptés en janvier 2014 par la gendarmerie turque près de la frontière syrienne.

Cette opération a viré au scandale politique lorsque des documents officiels publiés sur Internet ont affirmé que ces camions appartenaient aux services de renseignements turcs et transportaient armes et munitions destinées aux rebelles islamistes syriens en guerre contre le président Bachar el-Assad. Soupçonné par ses alliés occidentaux de soutenir ces combattants, dont le groupe djihadiste État islamique, Ankara, dont le régime de Damas est devenu la bête noire, a toujours démenti ces accusations, assurant que le convoi était chargé de médicaments.

Un black-out médiatique ordonné par le gouvernement

Selon les informations de Cumhuriyet, les camions interceptés convoyaient un millier d'obus de mortier, 80 000 munitions pour des armes de petit et gros calibre et des centaines de lance-grenades. De fabrication russe, ces armes ont été fournies par des pays de l'ancien bloc soviétique, a ajouté le journal. Le chef du principal parti d'opposition, qui avait déjà repris à son compte les accusations lancées parCumhuriyet, a dénoncé la politique syrienne du gouvernement. "Comment la Turquiepeut-elle envoyer des armes lourdes à une organisation qu'elle qualifie de terroriste, c'est-à-dire (le groupe djihadiste de) l'État islamique ?" a déclaré à l'AFP le président du Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), Kemal Kiliçdaroglu.

"Ces images sont très gênantes pour le prestige de la Turquie, a-t-il ajouté. Ceux qui envoient illégalement des armes dans un pays musulman ont les mains tachées de sang." Le gouvernement a imposé un black-out médiatique, y compris sur les réseaux sociaux, sur l'affaire et a ouvert une enquête qui a déjà abouti au placement en détention d'une cinquantaine de personnes, gendarmes, militaires ou magistrats. Quelques heures après les révélations de Cumhuriyet, un procureur d'Istanbul a ouvert une enquête pour des faits de "terrorisme" contre le quotidien, selon la presse turque.

Recep Tayyip Erdogan accuse l'imam Fethullah Gülen

Le président Recep Tayyip Erdogan a attribué la responsabilité de cette affaire à l'organisation de l'imam Fethullah Gülen, un de ses anciens alliés qu'il accuse depuis l'hiver 2013 de vouloir renverser le gouvernement. Dans une rare référence publique à l'affaire, Recep Tayyip Erdogan a déclaré mi-mai que la fouille des camions constituait une "trahison". Les révélations de Cumhuriyet interviennent à la veille des élections législatives du 7 juin. Au pouvoir depuis treize ans, le parti du président Erdogan s'y présente en favori. Mais affaibli.

Publié dans notre monde actuel

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